25 janvier 2021
Agostino Alberto Moravia
Alberto Moravia : Agostino –
Flammarion (1944)
#LaBouquinerie du centre (Angers)
Agostino était en solde ! Je ne l’ai su qu’au moment de payer. On dit que les livres sont chers, voilà un exemple qui prouve le contraire, pour 1€50 j’ai eu du plaisir pendant deux soirées. Moravia, il y avait quatre de ses livres sur l’étagère, j’en ai pris deux. J’ignorais que j’allais apprécier ce classique de la littérature italienne (les préjugés ont la vie dure). Agostino a 13 ans et passe des vacances en compagnie de sa mère jeune et... [Lire la suite]
25 janvier 2021
J'aurais dû rester chez nous Horace Mac Coy
Horace Mac Coy : J’aurais dû rester chez nous. Folio (1937)
#labouquinerie du centre (Angers)
Loin de moi l’idée que c’était mieux avant, pourtant quand je lis Mac Coy, je me dis que si son style n’est pas élaboré (quoique représentant une époque), si la psychologie des personnages est simplifiée et l’intrigue sans grande imagination, le livre – témoignage sur Hollywood par un auteur qui a fréquenté le monde du cinéma – est toujours d’actualité. Venus de la campagne, un jeune homme et une jeune fille désirent faire... [Lire la suite]
28 novembre 2020
Au pays du roi qui inventa l'écriture Alain Kewes

08 novembre 2020
Confinement saison 2 : livres de fuite

31 octobre 2020
Citéville, Citéruine Jérôme Dubois

28 juillet 2020
L'Obstination du perce-neige Françoise Ascal

20 juillet 2020
Carnetophiles

11 juillet 2020
Sophie ou la vie élastique Ariane Dreyfus

03 juillet 2020
Vinciane Despret et Baptiste Morizot

14 juin 2020
Le Discours, l'Amateur de billes et Ainsi sont-ils
Quand lire c’est rire...
Qui a dit que les auteurs d’aujourd’hui ne nous faisaient plus rire ?
Personne et c’est tant mieux !
Le hasard vient de glisser sous mes yeux trois livres qui ont dégourdi mes zygomatiques. Un livre de poche, Le discours de Fabcaro, a même provoqué quelques francs fous rires sous la couette car cet Adrien, la quarantaine déprimée, imaginant des discours pour le mariage de sa sœur, plus absurdes les uns que les autres mais tous trahissant un parcours de vie, m’a émue aux larmes.
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